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Dernière-née et princesse de la maison Dal'nië, Elzana est également la dernière fille encore vivante du seigneur Aelwyn Dal'nië et de la défunte Ilena de Château-d'or. Réputée pour sa grande beauté mais aussi pour son éloquence, elle semble à présent au coeur des négociations entre hauts-elfes et humains.

Jeunesse[]

Elzana est née en l'an 12, à savoir dans des temps très troublés dans le Royaume de Quel'thalas, mais aussi à Miel-de-nuit, là où les blessures de la terrible Deuxième Guerre se devaient d'être pansées.

D'après les chroniques thalassiennes, la jeune Dal'nië aurait eu une enfance très douce et heureuse auprès de sa sœur Nelania. Cette dernière aurait plutôt été portée, en raison de son attitude dès son premier âge, vers la politique, tandis qu'Elzana aurait plutôt inspiré une future demoiselle de la cour, en raison de sa grande beauté, de ses manières, de sa tendresse mais aussi de ses talents psychologiques.

Toujours est-t-il que la jeune fille aurait passé un temps considérable à se promener, à jouer à la poupée, à danser, à chanter et à se faire belle. Elle aimait manger et boire le thé, mais jamais avec excès. Surprotégée par son père, elle se voyait interdite de jouer avec les enfants de son âge, notamment avec son amie, la benjamine de la maison Tan'diel, vivant dans un manoir à côté du donjon et avec qui elle partageait sa passion des poupées.

La jeune Dal'nië avait ainsi tout pour donner l'image parfaite de la Demoiselle des fleurs (un archétype de la beauté de l'Ouest de Quel'thalas), et ainsi devenir l'épouse rêvée, qui saurait conclure une alliance de choix avec une maison puissante.

Ces talents furent inévitablement remarqué par sa mère, lorsqu'elle eut six ans, où elle proposa de lui donner un surnom afin de faire naître la légende sans plus attendre.

Etant donné que la couleur dominante du blason des Dal'nië était la couleur d'or, et que la Rose représentait le fief de Château-d'or, il fut conclu entre les deux épousés de nommer la belle demoiselle "La Rose d'Or de Miel-de-nuit".

Pourtant, la joie de la douce enfance ne dura que peu longtemps. A ses huit ans, le terrible Roi-Liche amorçait sa marche vers le Puits de Soleil avec ses armées, ne laissant que la mort sur son passage. Une partie du fléau aurait par ailleurs détruit un tiers de la plateforme, malgré la résistance acharnée des soldats. Semble-t-il qu'Elzana serait restée en sécurité dans le donjon, sans même savoir ce qu'il se passait.

Les chroniques de la jeunesse d'Elzana Dal'nië s'arrêtent ici.

Adolescence[]

La demoiselle eut perdu deux de ses frères dans la Troisième Guerre, mais malgré la tristesse et le vide que cela engendra dans le cœur d'Elzana, comme dans sa famille, la vie continua pour la princesse, qui continua à vivre en paix, d'autant plus protégée par son père.

C'est à ce moment que ce dernier aurait commencé à devenir de plus en plus sombre et distant avec son peuple, comme sa famille. L'effet rebondit inévitablement sur la jeune Elzana, bien qu'aucune chronique ne relate ces détails.

Elle aurait commencé à être formée bien plus régulièrement à la magie, à la diplomatie, à la politique, et même à la stratégie militaire, navale et terrestre. Cette éducation complète, s'accompagnant de ses leçons habituelles sur les langues, l'histoire et l'art d'être une demoiselle de la cour, fut certainement très éprouvante pour la jeune demoiselle, qui vit bientôt sa grande sœur, Nelania, prendre la route vers la Forêt d'Elwynn afin de faire valoir les intérêts de Miel-de-nuit et déclarer la vassalité de la cité elfique à la Grande Alliance.

Un an plus tard, Nelania aurait été assassinée dans un guet-apens, non-loin du Comté de l'Or. Certains affirment qu'Elzana Dal'nië ne fut plus jamais la même à ce jour. Toujours est-t-il que l'émissaire de Miel-de-nuit Balarian Dan'nariën, présent au Comté de l'or au moment de l'assassinat, aurait déclaré après avoir constaté le changement comportemental de la jeune Elzana : "Ils ont fait une grave erreur. Et elle les perdra.".

Âge adulte[]

Suite au décès de sa sœur, Elzana partit à son tour en ambassade dans la Forêt d'Elwynn, mais riche de son éducation très diversifiée, elle adoptera une stratégie bien plus ingénieuse que celle de sa sœur défunte. Protégée par une dizaine de gardes de confiance, certains lui servant également de conseillers, elle commencera à fonder une véritable terre d'accueil pour les quel'doreis, en louant une parcelle de terres au Sud du Comté de l'or.

Après des mois de travail et d'invocation, un camp pouvant accueillir une centaine de réfugiés fut érigé. C'est ainsi que la Fédération de l'honneur des réfugiés quel'doreis, fut créée, sous la bannière de Miel-de-nuit.

L'argument déterminant de la nouvelle fédération fut le soutien d'un Grand-Croisé de Stromgarde, Sire Lurivar d'Arathor, qui proposa ainsi de se joindre lui-même au conseil, afin d'initier des rapports diplomatiques profitables entre le Royaume de Stromgarde et la Fédération.

Cette décision apporta un confort très précieux à la future place de Miel-de-nuit dans l'Alliance, cela raviva certains espoirs de reconquête des terres perdues, consolida le peuple quel'dorei et permit de former des alliances défensives et commerciales constructives avec des ordres, compagnies et maisons nobles humaines comme thalassiennes.

Bien entendu, cela ne fut en rien gratuit. Une telle prouesse ne saurait se faire, sans que s'allongent la liste des dépenses, mais également celle des ennemis. Bientôt, la nouvelle fédération dut faire face à la montée en puissance de certains opposants, principalement des mercenaires ainsi que des groupes de paysans mécontents de la venue des elfes sur leurs terres.

Confrontée à ces ennemis insurrectionnels, unis et dangereusement puissants, étant hostiles à ses visions politiques et en partie soutenus par la garde, Elzana fut grandement menacée et dut commencer à diversifier ses moyens d'actions. La jeune demoiselle avait la chance d'être malgré tout appréciée d'une grande partie des nobles et bourgeois, en raison de son charme et de son intelligence mais aussi de son éloquence.

Malgré tout, en contrepartie, de nombreuses rumeurs furent répandues par d'autres ennemis et rivaux, bien que la plupart n'étaient pas prises au sérieux par la population.

Un compromis fut rapidement trouvé avec une grande partie des groupuscules et syndicats populaires, après que la princesse se soit employée à élaborer certains échanges commerciaux et une protection militaire de la part des quel'doreis, en faveur des bâtisses et lieux de travail désarmés des paysans et artisans avoisinant leur ambassade.

Une partie des syndicats demeura alors à leurs côtés, tandis que la majorité se contenta de cesser leurs actions face aux hauts-elfes. Pourtant, les rumeurs répandues par certains ennemis, et les violences orchestrées par les mercenaires continuèrent, si bien qu'Elzana, après plusieurs tentatives d'assassinat et d'enlèvement, dut s'entourer continuellement d'une escorte à chaque déplacement.

Afin de contrer le manège des rumeurs, la jeune Elzana décida de les vaincre à leur propre jeu. Elle fit alors appel à Dame Anastalia Man'tiel, arcaniste de Miel-de-nuit, spécialisée dans l'enchantement et la manipulation de marionnettes magiques.

Le spectacle de "La gentille Princesse et la méchante Jajaline" fut alors organisé six fois en cinq semaines, chaque spectacle, supposé totalement fictif, caricaturait en réalité la situation vécue par l'ambassade par l'intermédiaire de personnages ridicules représentant ses détracteurs. La scène voyait ainsi s'animer une marionnette similaire à une enfant, accompagnée d'un hippogriffe, d'un aigle et d'un faucon-dragon, affrontant des ennemis toujours plus grotesques les uns que les autres, et malgré les efforts inouïs employés par ces derniers, leurs stratégies face à la "gentille princesse et ses amis" se soldaient toujours par un échec cuisant.

Dédiée aux enfants à l'origine, cette ingénieuse entreprise rallia une grande partie de la jeunesse d'Elwynn à la cause d'Elzana, qui s'attira en contrepartie les foudres de plusieurs adultes ayant saisi l'ampleur de la supercherie, y compris la dizaine de personnes visées par les marionnettes. La stratégie fonctionnera cependant en grande partie, la majorité des alliés de la fédération saluant cette méthode de traiter le conflit. Bientôt, sous la pression populaire, plus aucun ennemi ne calomnia de nouveau la jeune Dal'nië.

Mais bientôt, ce fut au tour d'un nouvel ennemi d'entrer dans la danse : le dit "Empire Mol'dorei". En effet, malgré le fait que ce peuple - issu d'un métissage partiellement elfique, jugé immonde par la grande majorité des races de l'Alliance - était chassé depuis des décennies par le peuple de l'Alliance, ils semblaient être parvenus à s'unifier et à former une patrie, sous la bannière de la haine face aux humains et bien entendu, aux elfes.

Ce peuple était principalement connu pour des coutumes barbares, incluant le pillage, la torture, le viol de femmes comme d'hommes, et le meurtre d'enfants. Ils étaient également connus pour enlever des elfes afin de les asservir et d'en faire des esclaves sexuelles, utilisées pour la "reproduction" des infâmes mol'doreis.

Pire encore, une émissaire de la fédération alliée à Miel-de-nuit, envoyée dans les Contreforts de Hautebrande afin de s'entretenir avec les nains Foudrepiques, fut capturée par les immondes créatures, sans que cela ne soit su dans les premiers temps.

C'est ainsi qu'Elzana Dal'nië - également perpétuellement menacée par les Mol'doreis qui voyaient en elle une ennemie à éliminer - , désireuse de mettre fin à cette horreur, décida de réunir tous ses alliés, nobles comme roturiers, humains comme elfes, soldats comme capitaines. De nombreux chasseurs de Mol'doreïs étaient de toute manière déjà en marche.

La traque des Mol'doreis commença dès ce jour, et fut, malgré des pertes conséquentes, principalement à la suite de certains pillages et attentats, un succès. Les créatures furent chassées de la Forêt d'Elwynn, mais grâce à la présence d'un mage dans leurs rangs, ils emportèrent avec eux de nombreux otages, au grand dam des alliés.

Cependant, la patrie des Mol'doreis implosa bientôt, en raison de conflits internes. La tragédie étant que la plupart des otages, elfiques comme humains, étaient pour la majorité décédés de maladie ou de faim bien avant la "purge" (où ils auraient pu s'enfuir avant d'être exécutés), causa un sentiment de colère très puissant au sein de la fédération. Nul doute que si ces infâmes créatures se ralliaient de nouveau, la riposte serait terrible.

Faits récents[]

Toujours est-t-il que la fédération, à présent composée d'une dizaine de maisons nobles thalassiennes en plus des alliés humains, poursuivit son destin. C'est bientôt que deux jeunes hommes, haut-elfe et humain, à fière et belle allure se présentèrent au sein de l'ambassade, affirmant appartenir à une compagnie d'hommes et de femmes d'armes très diversifiés, dénommée "La compagnie Belmont".

Ces aventuriers se proposèrent ainsi de combattre dans les intérêts de Miel-de-nuit, afin de gagner de l'honneur. Ils affirmèrent être prêts à rallier leurs forces, afin de récupérer au nom de la Fédération, le Gîte de Quel'lithien, premier haut-lieu de l’exil Quel'dorei, et à présent peuplé de déshérités en raison d'une utilisation imprudente d'un artefact très puissant.

En échange de leur succès, Elzana Dal'nië s'engageait ainsi à financer le bâtiment d'un zeppelin, à la coque enchantée par les soins des mages de Miel-de-nuit. Ce zeppelin servirait ainsi, selon l'accord, à poursuivre le contrat passé avec l'honorable Compagnie Belmont.

Ce premier accord fut accepté mutuellement, et les aventuriers remportèrent une grande victoire au Gîte de Quel'lithien, parvenant à détruire l’artefact et sauver les derniers haut-elfes encore sains. Ce haut-fait militaire fut salué par de nombreux hauts-elfes.

Le Gîte put ainsi être à nouveau investi par le peuple Quel'dorei, sous la bannière de la Fédération.

Ce fut bientôt au tour d'un nouvel individu de faire son entrée dans l'ambassade. A la différence de Sire Desmont, Capitaine de la Compagnie Belmont, l'individu était déjà connu par Elzana Dal'nië. Il s'agissait d'Adéwalé M'bountou, chef d'une tribu païenne de Kalimdor, faisant également partie d'un ordre esclavagiste ayant déjà tenté à plusieurs reprises de causer du tort à l'ambassade, et à attenter à la sécurité de la princesse, en allant jusqu'à tenter de l'enlever.

Bien évidemment, Adéwalé fut mal reçu, mais il fut entendu. Ce dernier affirmait souhaiter pousser son ordre à cesser toute action contre Miel-de-nuit, en échange d'une place au sein de la Fédération, et donc d'une alliance entre son peuple et le peuple thalassien.

Elzana Dal'nië décida donc de le laisser faire ses preuves, et l'envoya récupérer le Gîte de Quel'danil, dans le Haut-Val et Hinterlands, aux mains des trolls amanis et en proie à une invasion mineure d'une avant-garde réprouvée.

L'armée de la tribu M'bountou, forte d'une centaine de soldats, hommes uniquement (en raison d'un problème de démographie homme-femme), marcha alors vers le Gîte de Quel'danil, mais rencontra alors une petite troupe réprouvée ayant déjà commencé à occuper le Haut-Val et étant déjà prête au combat. La bataille fut très sanglante, mais fut une victoire sans appel de la tribu M'bountou, qui chargea au cri de "Pour Huron!" (nom de leur dieu païen). Malgré cela, un incident entre les archers de la tribu M'bountou et la soixantaine de soldats de la Fédération (Stromgarde et Miel-de-nuit principalement) restés en renfort, éclata pour une raison trouble.

Après une rixe encore incomprise, une partie des archers M'bountou furent criblés de carreaux d'arbalète, et alors que les stromgardiens soupçonnant une trahison se divisaient afin de charger Adéwalé, situé sur les flancs, et l'armée M'bountou dirigée par son sous-chef, les réprouvés battirent en retraite. Adéwalé, sur le point d'être capturé et encerclé par une dizaine de stromgardiens, put s'enfuir grâce à sa pierre de foyer, et l'armée M'bountou, pourtant puissante et en mesure de résister, se rendit, sourire aux lèvres. Le gîte fut ainsi occupé par les forces fédérées, et les soldats d'Adéwalé furent libérés pour les non-gradés, et gardés captifs à Miel-de-nuit, dans de bonnes conditions, pour les gradés.

Cet incident fut vécu comme une véritable insulte par Adéwalé, malgré les explications d'Elzana Dal'nië quant à la raison de l'intervention, et qui s'excusa des méthodes employées, mettant en avant la nécessité d'être prudents. Elzana parvint finalement à convaincre le chef de tribu de la nécessité de passer au delà des querelles internes, afin de se concentrer sur l'avenir de leurs peuples.

L'alliance fut maintenue, et le chef Adéwalé, en compagnie de Cheikh, sa conseillère religieuse, accepta de vassaliser son peuple à la cause elfique. Adéwalé put ainsi avoir un siège au conseil.

Les nouvelles tombèrent, tandis que des négociations poussées et ardues entre Elzana Dal'nië et le Royaume de Stromgarde portèrent enfin leurs fruits : Stromgarde devient de jure et de facto suzerain et protecteur de Miel-de-nuit. Messire Lurivar d'Arathor devint alors ambassadeur de Miel-de-nuit, et général des forces stromgardiennes mobilisées pour la défense de la plateforme.

Cependant, les dernières nouvelles seraient catastrophiques : une nouvelle menace semble peser sur le Gîte de Quel'lithien, et le fléau mol'dorei semble de retour. Des négociations commerciales et défensives avec les Îles d'été auraient été amorcées avec brio par Elzana Dal'nië, accompagnée du Capitaine Vasariel Tan'diel.

Aspect physique et mental[]

Elzana Dal'nië est principalement connue en dehors de Miel-de-nuit pour sa grande beauté ainsi que son charme caractéristique de son titre. Tenant cela en majorité de sa mère et de grand-mère paternelle, elle demeure le mélange parfait entre la thalassienne du Nord et la thalassienne forestière.

Ses cheveux d'or et ses grands yeux azur en forme d'amande se marient à merveille à son nez fin et son visage légèrement ovale.

Mince et en parfaite santé, elle dispose de formes très féminines, équilibrées, sans excès, mises en valeur avec délicatesse et dans le respect des bienséances, avec des robes de haute-couture, adaptées à l'image qu'elle souhaite donner.

Ses cheveux longs et dorés sont toujours coiffés par une queue de cheval très élaborée, dans laquelle une rose est délicatement entreposée.

Elle entretient une hygiène irréprochable, et se parfume régulièrement aux fleurs printanières de Quel'thalas. Elle arbore toujours une tenue plus que convenable, à l'instar de son comportement, dans le respect des diverses valeurs que doit entretenir une demoiselle de son rang.

Elzana est également une danseuse, chanteuse et poétesse de talent. Elle a elle-même écrit certaines chansons de Miel-de-nuit, dont la grande majorité sont chantées uniquement dans l'enceinte de la cité.

Contrairement à sa sœur défunte, Elzana semble faire de son mieux pour cacher son naturel arrogant et hautain auprès de la population hurleventoise, sans pour autant renier le moins du monde la culture thalassienne.

Le destin d'Elzana Dal'nië[]

Bien que l'air soit encore inconnu du grand public, la principale chronique relatant le départ d'Elzana vers le monde des adultes, contient ce qui semble être une chanson douce, dont les paroles sont pointues.

Mignonne, ma fille, à un jeu vous aller jouer,

Bien différent de ceux que vous connaissez, 

Terme à l'enfance, terme à l'ingénuité, 

L'heure n'est plus à la poupée, à jouailler, 

L'heure n'est plus à la poupée, à jouailler.  

Mignonne, ma fille, à la forêt vous partez, 

Bien différente de celle que vous connaissez, 

Terme au trivial, terme à l'accoutumé, 

L'heure n'est plus guère à se promenailler, 

L'heure n'est plus guère à se promenailler.  

Mignonne, ma fille, notre peuple vous rallierez, 

Bien différents de qu'eussiez côtoyé, 

Terme à l'impair, terme à l'échappée, 

L'heure n'est plus guère à philosophailler, 

L'heure n'est plus guère à philosophailler.  

 Mignonne, ma fille, orphelins vous abriterez, 

Nourrirez, soignerez et aimerez, 

Terme à l'ébauche, terme à la connexité, 

L'heure n'est plus guère à se boustifailler,  

L'heure n'est plus guère à se boustifailler.  

Mignonne, ma fille, de vos ennemis vous garderez, 

Et par deux fois, de vos alliés vous méfierez, 

Terme à l'axiome, terme à la netteté, 

L'heure n'est plus guère à politicailler, 

L'heure n'est plus guère à politicailler. 

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