Histoire[]
La Compagnie Cacolac a été fondée par Buddy Brouillécrou le 19 juillet de l'an 31. Tout commence par l'invention de la recette du Cacolac : la boisson chocolatée, l'un des deux produits phares de l'entreprise. Elle partait d'une dérivation du Kaja'Cola, transformé alors en soda sucré. L'idée secondaire était de fabriquer une machine capable de mélanger et distribuer le Cacolac : le Cacolac-o-tron était né... mais à cette époque, ils n'avaient pas de nom.
Le jeune entrepreneur fit d'abord escale à la Villembrack, où il monta son affaire petit à petit, commençant par vendre son produit sur la plage, puis en plein centre-ville. Il monta un réseau de contacts qui lui permirent aisément de populariser son affaire auprès de la ville entière. Il alla même jusqu'à collaborer avec le Cartel Kaboom, qui lui prêta l'argent nécessaire au lancement de ses usines. Le gobelin emménagea ses locaux sur l'île aux Jagueros, située au sud de Strangleronce. Il eut quelques problèmes de faune, notamment des gorilles qui harcelaient le prersonnel. Il fit rapidement appel à des mercenaires, qui ne firent que repousser le problème à plus tard.
Ainsi débuta la construction des usines, qui se développèrent sans mal grâce aux ouvriers de Villembrack. L'île profitait du climat idéal pour la plantation du cacao et de la vanille, les deux saveurs disponibles. Elle possédait aussi du bois et de l'eau, des ressources primordiales à la foi pour l'édification des usines, mais aussi pour les Cacolac-o-tron et la boisson elle-même.
Les locaux installés, il lança une production de masse en prévision d'un grand succès auprès de la plèbe gobeline. Et cela fonctionna. Son plan marketing et le bouche-à-oreille avait rendu son produit quasiment célèbre dans la Villembrack. Le slogan était "Rêvez gobelin, buvez Cacolac", en hommage au rêve gobelin qui alimentait le tourisme et l'immigration à la Villembrack, dont il a fait partie et contribuait alors. C'est là que tout se joua : il fit passer des musiques à la radio (dont il était et est encore grand fan), des affiches, des ballons qui diffusaient la publicité, il y avait même des vendeurs de rue ! Pendant quelques temps, la ville a baigné dans la propagande du Cacolac. Il est estimé qu'un tiers de la population avait un Cacolac-o-tron à domicile. Cependant, la "fièvre du Cacolac" retombée, les bénéfices de l'entreprise chutèrent très rapidement. Elle n'eut pas de mal à rembourser ses dettes au Cartel Kaboom, mais le flux d'argent engendré par la vente des Cacolac-o-tron, subitement stoppé par une rupture de stock et un manque de clients calma ardemment le patron de l'entreprise. Il continua toujours de faire diffuser de la publicité, puis se décida à aller commercialiser son produit à Kezan.
Les Îles Perdues accueillirent le produit avec une certaine appréhension. Il sortait de nulle part, et leur Kaja'Cola leur convenait parfaitement : il faut même dire qu'il leur était indispensable. Le conflit avec le Cartel Baille-fonds était inévitable, et est toujours palpable. L'entreprise marqua un coup de maître en distribuant du Cacolac gratuitement dans les rangs de la flotte de la Coalition Marchande, ce qui contribua à propager le Cacolac à travers les Îles Perdues.
Aujourd'hui, il est dit que la compagnie s'est trouvé un nouveau front : les Royaumes de l'Est. Ils comptent intégrer des commerces dans les petits comme les grands bourgs humains, et, plus tard, les nains, en proposant une nouvelle formule alcoolisée, tenue secrète. Buddy Brouillécrou lui-même s'occupe, tout en prenant des vacances, de répandre le Cacolac auprès de la population humaine. Le reste est à venir...
Publicités et slogans[]
La compagnie s'est diversifiée assez rapidement dans sa méthode de marketing, notamment en démocratisant les publicités radios, mais aussi, comme la plupart des "autres" grandes entreprises, des affiches, des ballons, ou même la vente de rue. Il n'est pas rare de croiser un commerçant ou deux, vantant en criant à qui veut l'entendre les vertus du Cacolac.
Le premier slogan de l'entreprise fût "Rêvez gobelin, buvez Cacolac". Il rendait hommage au rêve gobelin qui supportait activement le trafic touristique et commercial, qui fût l'une des raisons que Buddy se rendit à Villembrack, et, maintenant, qu'il alimentait.
L'une des publicités radios les plus connues de l'entreprise est celle-ci.